Maladies du système nerveux (neurologie)

Paralysie après un accident vasculaire cérébral

Habituellement, la paralysie touche la partie du corps du patient opposée à la partie endommagée du cerveau. Ainsi, si l'hémisphère droit est atteint, le côté gauche du corps sera paralysé, et inversement. Ce phénomène est naturel.

Dysarthrie bulbaire

La dysarthrie bulbaire est considérée comme l'une des formes les plus complexes de la maladie. En raison de la perturbation de la transmission de l'influx nerveux, la mobilité de l'appareil vocal est fortement réduite et une paralysie des muscles faciaux peut également survenir.

Paralysie centrale

La paralysie ne peut être liée à une cause unique: les facteurs qui la provoquent sont très divers. Les fonctions motrices peuvent être affectées par diverses lésions du tissu nerveux.

Paralysie ascendante

Le syndrome neurologique – paralysie ascendante – est une forme aiguë de lésions multiples post-infectieuses des nerfs périphériques.

Paralysie du bras

La paralysie est un trouble de l’activité motrice qui se manifeste par une absence totale de mouvement.

Angiome du cerveau

L'angiome veineux-artériel et veineux du cerveau est une expansion vasculaire limitée qui ressemble à une boule de vaisseaux emmêlés.

Épuisement nerveux

Diverses névroses, la neurasthénie et la surmenage sont les fléaux de la vie moderne. La plupart des gens sont confrontés à un stress constant, à une surcharge de travail, à des émotions négatives, etc.

Athérosclérose du cerveau

La maladie est chronique et s'accompagne de perturbations de la nutrition du tissu cérébral dues à la croissance de plaques lipidiques. Sa progression perturbe les performances cérébrales, ce qui menace le développement d'un accident vasculaire cérébral.

État post-AVC

La gravité de cette maladie ne fait aucun doute. Ses conséquences – l'état post-AVC – peuvent perdurer jusqu'à la fin de vie du patient.

La paralysie de Todd.

Les signes de paralysie ou de parésie qui commencent à apparaître après une crise ont été décrits pour la première fois en 1855 par le médecin anglais Robert Benckley Todd (RB Todd), d'où ce phénomène médical a reçu son nom.